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NAZI BONI
Burkina Faso
Unité - Progrès - Justice
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S'il y a une mesure qui fâche certains leaders syndicaux de l'Université Nazi BONI (UNB) , c'est bien le décrochage et le nouveau régime des études,, pourtant il faut résoudre le problème des chevauchements des années académiques. 


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S'il y a une mesure qui fâche certains leaders syndicaux de l'Université Nazi BONI (UNB) , c'est bien le décrochage et le nouveau régime des études,, pourtant il faut résoudre le problème des chevauchements des années académiques. 



S'il y a une mesure qui fâche certains leaders syndicaux de l'Université Nazi BONI (UNB) , c'est bien le décrochage et le nouveau régime des études,, pourtant il faut résoudre le problème des chevauchements des années académiques. 

La politique gouvernementale  mise en œuvre à l'Université Nazi BONI, comme dans toutes les universités du Burkina Faso dans le but de la normalisation des années académiques et du rattrape des retards académiques ne peut se faire pas sans difficultés. Également , parvenir à une année universitaire normale qui commence en octobre et finit en juillet ne peut se faire en une année, En plus, ces réformes exigent bien de sacrifices énormes non seulement de la part du gouvernement, mais aussi de la part des enseignants, des parents et surtout des étudiants.. 
Du gouvernement, il faut qul'il consente des efforts financiers pour payer les heures supplémentaires, complémentaires,,  de vaccination, et de location des salles, car il est certain qu''un amphi d'une grande capacité ne se construit pas s en une année, les activités academiques doivent se derouler. 
Bien plus, les effectifs decuplent d'années en années. Cela implique impérrieusement un changement de paradigme pédagogique. En effet, l'introduction de l'enseignement virtuel, en ligne, s'impose à nous. Pour y parvenir, il faudrait que les parents consentent le sacrifices en dotant les étudiants d'outils informatiques pour suivre les cours. C'est une réalité à laquelle  l'on ne peut s'y dérober. Toutes les structures syndicales universitaires, les étudiants et les parents doivent envisager cette éventualité et la réaliser., puisque personne n'a refusé de grandir; or toute évolution positive nécessite d'énormes efforts. Il le faut donc . 

C'est pourquoi, dans l'immédiat, les étudiants doivent consentir d'énormes sacrifices en opérant le choix judicieux dont ils sont capables, nous en sommes sûrs, lequel choix  consiste à savoir choisir l'essentiel de l'accessoir., car le week-end sera souvent sollicite, ce que font déjà certains , L'assiduité et la régularité dans les activités academiques se conjugueront à l'impératif pour eux.  Ce qui signifie plus de responsabilités, de dialogues et d'humilité.  L'accompagnement des responsables syndicaux et l'ensemble des étudiants reste fortement Sollicité. 
En la matière, les Unités de formation et de recherche Sciences humaines, Lettres, Arts et Médias (UFR/SH-LAM) et la promotion 2019 de l'unité de formation et de recherche Sciences Exactes et Appliquées (UFR/SEA) sont déjà des exemples illustratifs. Nous sommes alors tous invités à nous engager dans la mise en œuvre de la stratégie de résorption des retards et de normalisation des années académiques à l'Université Nazi BONI.  Ce n'est l'affaire d'un gouvernement, ni du Professeur Samdpawindé Macaire OUEDRAOGO, ni des enseignants, mais de toute la communauté universitaire, des étudiants sutout . Il nous le faut. 
A l'Université Nazi BONI, c'est le savoir, la compétence et l'innovation. 


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